Urgent: information de dernière minute.
Incidents au Stade de France: les images de vidéosurveillance n'ont pas été conservées.
Erwan Le Prévost directeur des affaires institutionnelles de la Fédération Française de Football, a annoncé lors de son audition au Sénat que les images des caméras du Stade de France ont toutes été détruites.
Ces images selon la procédure habituelle sont détruites au bout de sept jours, sauf réquisition de la justice.
"C'est la loi", a précisé à l'AFP, le président de la commission sénatoriale de la culture, Laurent Lafon. "Nous sommes surpris, le préfet a saisi la justice très rapidement, il y a eu largement le temps de saisir (ces images), il faut qu'on comprenne ce qui s'est passé." "L'information que nous avons obtenue (pendant l'audition, NDLR) sur les images vidéo nous interpelle", à ajouté le président de la commission des lois, François-Noel Buffet, qui co-présidait l'audition. "S'il advenait qu'elles n'ont pas été conservées, cela poserait un grave problème".4
Pour le sénateur David Assouline, "des images très violentes existaient et elles ont été effacées sept jours après les faits, pourquoi n'ont-elles pas été réquisitionnées?" a-t-il demandé.
Fait étrange, la justice et son ministre, Éric Dupont-Moretti, ne les a pas réclamées !
Steve Rotheram, maire de métropole de Liverpool, auditionné par la F.F.F, a dit "qu'il ne parvenait pas à comprendre pourquoi les vidéos ont été détruites".
Images qui auraient été particulièrement utiles pour interpeller à leur domicile tous les barbares ayant participé aux nombreuses agressions sur des supporters anglais et espagnols.
Apparemment, il fallait passer sous silence, le fait que les hordes de voyous qui ont fondu sur le Stade de France, venaient des cités alentours de l'Ile Saint-Denis ou de l'Ile de France.
Grâce à nos deux chiens de garde, Gérald Darmanin et Didier Lallement, nous avons évité de justesse la guerre civile.
Au final, seuls les Gilets Jaunes et leur révolution sociale devaient être durement interpellés au réveil (6 heures du matin), placés en garde à vue et jugés sans la moindre clémence. À croire dans ce pays, que réclamer plus de justice sociale est un crime de lèse-majesté, tandis que nos racailles violentes et décidées à faire le mal, sont en parallèle, élevés au titre de la légion d'horreur par un état coupable de laxisme et de favoritisme.
Circulez, il y n'a rien à voir !
Avec la perte volontaire de ces images, Emmanuel Macron, a étouffé dans l'oeuf toutes les procédures judiciaires que pouvaient attenter contre la France, la Grande Bretagne et l'Espagne.
Quoi de plus normal me direz-vous!
Il fallait bien protéger les soldats Darmanin, Lallement et Ouéda-Castéra.
Tous autant incompétents, qu'orgueilleux.
La suite logique de cette affaire est simple la démission de ces sinistres.
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