Affaire Kipten, secte satanique Abrasax et affaire Marc Dutroux [Samir, l’enfant sacrifié à Satan]

Publié le 17 septembre 2022 à 22:15

En avril 1997, le magazine Paris match Numéro 2497 publiait l'interview du journaliste Bruno Fouchereau par Michel Peyrard. Il s'agit là de l'affaire Kripsen.

Même si ces affaires sont vieilles et n'apportent aucun nouveau élément, elles ont été savamment enterrées pour permettre aux réseaux pédosataniques de poursuivre leurs activités.

Notre vocation, les dépoussiérer pour vous éclairer au maximum sur les élites qui façonnent notre monde.

Ce dossier noir concerne "l'Affaire Abrasax" secte pédosatanique dont étrangement le nom de Marc Dutroux se croise avec plusieurs personnalités du gratin belge. Il y aurait même des têtes couronnées impliquées dans ce torrent de boue.

Affaire qui fit en son temps les gros titres de l'actualité.

Affaire Kipten, secte satanique Abrasax et affaire Marc Dutroux.

En avril 1997, le magazine Paris match Numéro 2497 publiait l'interview du journaliste Bruno Fouchereau par Michel Peyrard. Il s'agit là de l'affaire Kripsen.

Même si ces affaires sont vieilles et n'apportent aucun nouveau élément, elles ont été savamment enterrées pour permettre aux réseaux pédosataniques de poursuivre leurs activités.

Notre vocation, les dépoussiérer pour vous éclairer au maximum sur les élites qui façonnent notre monde.

Ce dossier noir concerne "l'Affaire Abrasax" secte pédosatanique dont étrangement le nom de Marc Dutroux se croise avec plusieurs personnalités du gratin belge. Il y aurait même des têtes couronnées impliquées dans ce torrent de boue.

Affaire qui fit en son temps les gros titres de l'actualité.

C'est en 2006, en pleine époque Dutroux, que le 21 décembre, la gendarmerie belge donne l'assaut au siège d'Abrasax, énigmatique église de Satan basée à Forchies la Marche près de Charleroi. La date est bien choisie par les enquêteurs puisque c'est le temps des Saturnales ancien culte mystique gréco-romain.

Le but des enquêteurs, arriver en pleine cérémonie sacrificielle afin de prendre en flagrant délit, les illuminés de cette secte satanique. Resultat : rien. La piste est abandonnée en moins de deux jours.

Comment on est arrivés là ? Emmanuel Allaer et Adrien Lasserre ont démonté point par point l'enquête et ont refait la leur.

Point de départ, Abrasax, Asbl société secrète qui a pignon sur rue dans le domaine des sciences occultes.

En 1994, Dominique Kindermans, la grande prêtresse d'Abrasax fait une apparition télé, l'émission fait grand bruit et donne un rayonnement inattendu à l'église de Satan.

À savoir que la première église de Satan a été créée le 30 avril 1966 par Anton Szandor Lavey aux États-Unis, plus précisément en Californie.

Revenons à nos moutons...

Les deux journalistes sont allés interroger d'anciens gendarmes et enquêteurs de l'époque. Ils démontrent avec certains témoignages que les réseaux pédophiles n'ont toujours pas été démantelés malgré les preuves et les arguments accumulés.

Avant d'aller plus loin dans le récit, il est bon de revenir sur les fondateurs de cette secte satanique.

Fondée en 1990 par feu le Grand Maître Anubis (1946-2006) (Francis Desmet) et la Grande Prêtresse Suprême Nahema (Dominique Kindermans), les deux personnages ont fortement contribué à la diffusion de l'ésotérisme en francophonie avant de devenir les chefs spirituels d'Abrasax.

L'institut Abrasax était un centre de recherches et d'études des phénomènes inexpliqués, mais aussi des "parasciences" et de tout ce qui concernait les diverses traditions et formes de magie. Le but des cours de l'institut était de former des personnes compétentes et efficaces dans les domaines étudiés, et donc d'en faire des "Mages". C'est pour cela que la majorité des cours insistait sur les aspects techniques et pratiques des sujets abordés.

Les deux journalistes sont allés interroger d'anciens gendarmes et enquêteurs de l'époque. Ils démontrent avec certains témoignages que les réseaux pédophiles n'ont toujours pas été démantelés malgré les preuves et les arguments accumulés.

Avant d'aller plus loin dans le récit, il est bon de revenir sur les fondateurs de cette secte satanique.

Fondée en 1990 par feu le Grand Maître Anubis (1946-2006) (Francis Desmet) et la Grande Prêtresse Suprême Nahema (Dominique Kindermans), les deux personnages ont fortement contribué à la diffusion de l'ésotérisme en francophonie avant de devenir les chefs spirituels d'Abrasax.

L'institut Abrasax était un centre de recherches et d'études des phénomènes inexpliqués, mais aussi des "parasciences" et de tout ce qui concernait les diverses traditions et formes de magie. Le but des cours de l'institut était de former des personnes compétentes et efficaces dans les domaines étudiés, et donc d'en faire des "Mages". C'est pour cela que la majorité des cours insistait sur les aspects techniques et pratiques des sujets abordés.


Lien vidéo ci-dessous reprenant le témoignage de SAMIR violenté à l’âge de ses 12 ans par cette secte sataniste.

https://youtu.be/ImsZtNdzzxk


Tout cela n'est pas sans rappeler l'association Lucis trust au sein du siège des Nations Unies à New-York, qui elle aussi glorifie les arts occultes et Satan.

Parenthese faite, l'ancien institut Abrasax ABSL a été dissout par ses fondateurs, et revit autrement au travers d'autres chefs spirituels.

Dominique Kindermans de nationalité belge est née en 1950 à Bruxelles. Nahema-Nephtys s'intéressa très tôt à l'ésotérisme et à la spiritualité. Initiée à de hauts grades, elle se consacra pendant de nombreuses années à l'étude de l'ésotérisme hellénistique (le culte orgiaque de Dionysos) et principalement aux courants gnostiques ainsi qu'aux religions antiques. Sa rencontre avec Anubis lui ouvrir les yeux sur de nouveaux horizons plus spécifiquement ceux liés à la sorcellerie. Tous deux créés Abrasax et dédient leur vie à l'enseignement de la magie et de la sorcellerie. De formation scientifique, passionnée par les phénomènes encore inexpliqués, elle dispose de vastes connaissances en philosophie, en théologie, en démonologie, en histoire et en psychologie. Tandis que dans les églises chrétiennes, on fait semblant que ces choses n'existent pas, pour ne pas les réveiller et s'attirer leur courroux. Ceci est incompréhensible car Jésus-Christ lui-même nous dit qu'il nous a donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions ainsi que toute la puissance de l'ennemi (luc 10:19).

La filière sectaire sataniste,

Dans "l'enfant sacrifié à Satan", Bruno Fourchereau raconte l'histoire de Samir Aouchiche, enfant "survivant" d'un mouvement satanique doublé d'un réseau pédophiles international, dont tombe sous le charme un homosexuel pédophile nommé Willy Marceau. Tous deux et d'autres victimes témoignent de leurs années noires, le second tentant pendant toutes ces années et au péril de sa vie de sauver le premier.

Il s'agit de l'alliance Kripten, alias institut Abrasax, ou encore Planète Uranus en langage codé. Sont réunis entre eux diverses organisations la Golden Dawn (Aube dorée) l'Ordo Templi Orentis et les Illuminati.

"De 1985 à 1988, Michel et quelques-uns de ses camarades, tous débiles ou autistes, eurent à subir les plus infâmes tortures que des adultes puissent infliger à des enfants"

Cela encore n'est pas sans rappeler l'histoire "des disparues de l'yonne". Où en fait, Emile Louis était le rabatteur d'un réseau pédosatanique. Fait plus étrange, la mort du gendarme Jembert qui devait témoigner en apportant de nouveaux éléments au tribunal et qui 24 heures avant, se suicide mystérieusement.

Reprenons le fil du témoignage...

"Lors de ces orgies sadiques (...) on les obligeait à boire un liquide rouge qui leur faisait tourner la tête (...) Michel affirme avoir assisté à un rituel au cours duquel une petite fille de huit ans aurait été sacrifiée par le feu (plus précisément à Moloch) après avoir été violée" (page 15 du livre)


Puis Willy évoque les liens en Kripten et certains membres de la brigade des mineurs et de la magistrature parisienne (p 22- 23). À son tour Samir Aouchiche confirme ces accusations. Le témoignage de Samir a permis de révéler une terrible réalité que cache notre société bien intentionnée en apparence.

Ce témoignage fit réagir en septembre 1995, le Comité international pour la dignité de l'enfant qui se vit contraint de dénoncer publiquement le système judiciaire français et plus particulièrement le parquet de la région niçoise. Dans la même période le CIDE (Comité international pour la dignité de l'enfant) venait d'enquêter sur plusieurs cas d'enfants victimes d'abus sexuels telle que l'affaire Kamal 1994. Les témoignages de trois d'entre-eux, Florian, Laurianne, et Aurore, entendus pour des affaires différentes, faisaient état de réunions très similaires où de nombreux adultes venaient pour abuser d'eux sexuellement. (...) Le petit Florian raconta que, dans des villes de Paris et de Nice (...) les adultes tout nus et masqués l'obligeaient boire un liquide rouge qui selon ces dires lui faisait tourner la tête... puis prenait le sexe des grandes personnes dans sa bouche". Samir Aouchiche (p 131-133) " ne cesse de se repasser encore et encore les scènes de violence dont il a été témoin pendant des jours et des nuits qu'il a eu le déplaisir de passer dans une église désaffectée et profanée. En somme, une offense faite à Dieu. Depuis il retient le visage de cette petite fille de 11ans, qui depuis le hante.

Puis l'homme grimé se jette sur l'enfant et à l'aide d'un scalpel, entreprend de lui lacérer le dos. De fines et longues blessures- au moins cinq ou six-, le sans ruisselle sur la table, puis dans des rigoles prévues à cet effet, deux assesseurs recueillent le sang encore chaud dans des calices pendant que l'homme grimé, après l'avoir saignée, viole la fillette". La grande prêtresse surnommée "l'empereur" boit alors une gorgée et présente la coupe au père de l'enfant qui boit lui aussi. Enfin, tous les autres font de meme". "Ce rituel fût donné au cours de la première nuit, et chacune des suivantes fût l'occasion d'un autre de même genre. Le second soir, on étouffa rituellement un petit garçon avant de le sodomiser. Au cours de la troisième soirée, une petite fille dut satisfaire l'appétit sexuel d'un chien... Toutes les cérémonies donnèrent lieu à d'immondes parties de débauche. Pendant ces trois jours, Ondathom n'arrêta pas de filmer et de prendre des photos. Il n'était pas le seul. Un homme brun, barbu, d'une quarantaine d'années, filma tout particulièrement Samir". Des dossiers dans lesquels les enfants décrivaient des rituels, le C.I.D.E. en a vu passer un certain nombre de fois. C'est le cas en Ardèche, déjà mentionné plus haut. Ce vaste réseau en lien avec d'autres réseaux, était en relation avec Marc Dutroux. La première face du réseau concernait un circuit commercial de prostitution et de vente d'enfants (voire d'organes) et de production de matériel pédopornographique.

Ci-dessus, symbole de cette secte sataniste


L'autre était un mouvement satanique avec rituels, sacrifices, magie noire, dans lequel était impliqué un ecclésiastique bien placé dans la hiérarchie de l'église catholique. Il y avait des enfants de toutes origines. Généralement, ils étaient cachés dans des souterrains sillonnant les sous-sols de villages (en système d'adduction d'eau) ou ces mêmes enfants subissaient des violences sexuelles, des tortures puis étaient mis à mort. En fait, c'etait un lieu de récupération d'organes. Les restes des corps étaient enfouis en divers lieux, notamment en forêt.

Concernant les rituels sataniques, les récits des enfants (dont les témoignages ont été recueillis alors qu'ils étaient de jeunes adultes) sont précis et détaillés: dessins géométriques, bougies noires, robes blanches, statue de trois corps mêlés et de trois têtes en bois noirs. D'après eux, c'est à ces statues que les membres de cette secte sacrifiaient les bébés et faisaient à genoux leurs prières sur des tapis tout en se prosternant trois fois le front contre le sol.

"Les sept prêtres sont entrés dans la salle basse et ont commencé à prier Satan. Nous étions sur des tapis et nous avons prié. Quand la prière s'est achevée, nous sommes allés danser autour d'une table en bois recouverte d'une nappe aux dessins géométriques rouges et blancs. Il y avait une grande statue et deux plus petites, et de la poudre d'os du nouveau-né sacrifié. Nous avons dansé et chanté dans la salle basse qui nous servait d'eglise". Ce sont les nombreux exemples de témoignages recueillis par le C.I.D.E. Et l'affaire Dutroux ne fait pas exception.

Les policiers ont beaucoup enquêté, justement, sur la composante satanique Abrasax/Kripten, comme le confirment les synthèses des procès-verbaux.

Les témoins "X" l'évoquent également avec force et détails. On peut lire encore l'article (cité par Bruno Fouchereau dans son livre p 146) du journaliste belge Alain Guillaume dans le quotidien "Le soir" du 25 décembre 1996 et intitulé "Dutroux": des victimes sacrifiées sur l'autel du démon?".

"Les enquêteurs de Neufchâteau ont basculé dans un univers pervers peuplé, de sadiques et de psychopathes (...) qui évoluent impunément depuis des dizaines d'années, expliquent les témoins, de beuveries, de partouzes, de tortures, de sabbats noirs et d'assassinats. Les dossiers des juges Langlois et Gérard sont- déjà - bien plus lourds que ce que l'on découvre maintenant.

Avec autant d'informations precises et de témoignages concordants, on aurait pu croire que les masques allaient tomber. Aujourd'hui, on sait qu'il n'en a rien été.

L'existence d'Abrasax (ou Abraxas), où Samir Aouchiche s'est rendu forcé dans tous les lieux de pérégrinations, à été révélée aux Belges lors de la perquisition effectuée par les policiers et les gendarmes le 21 décembre 1996 dans le petit village de Forchies-la-Marche, près de Charleroi.

Cette perquisition dans les locaux d'Abrasax a été commanditée par la cellule d'enquête de Neufchâteau chargée de l'enquête Dutroux. Les policiers, écrit Bruno Fouchereau dans son livre (p 151), disposaient de nombreux témoignages précis et concordants faisant état de sévices sexuels infligés à de jeunes enfants à l'occasion de cérémonies sataniques; certains signalaient même des meurtres rituels. Les informations apparues dans la presse belge ont été reprises et décrites dans un article du quotidien français "Le Midi Libre", cité dans son livre (p 151). L'article est intitulé comme suit: L'hypothèse sataniste horrifie la Belgique".

Ci-dessus, c'est l'un des symbole de secte satanique Abrasax. Ci-dessous, la photo du Grand Maître Suprême Anubis.


Que recherchent donc ces gens ? Des émotions fortes allant dans la graduation permanente du mal. Cette forme de pulsion va bien au-delà du sexe puisqu'elle met en lumière le besoin de jouir de la souffrance des autres. Même si le décorum compte, la perversité lié au mystère est la principale motivation des initiés qui au fur et à mesure de leur engagement dans la secte prennent du galon.

Donc en son temps, le Marquis de Sade a démocratisé le neosatanisme pour en faire un phénomène de perversion sexuelle acceptable.

Ainsi la force de Satan est de maintenir hommes et femmes dans la salissure et l'insatisfaction sexuelle. L'une des doctrines que nous connaissons tous est la pornographie. Elle est généralement utile pour rendre normal la perversité telle que la sodomie, les gang bang, la zoophilie, la pédophilie, l'inceste, l'homosexualité, le lesbianisme. Cette politique de la surenchère conduit la société à la désintégration des vertus de l'amour, du respect et des sentiments.

Et cette déshumanisation de l'amour par le sexe décadent, nous le devons à la prostituée du livre de l'Apocalypse, qui enivre toute l'humanité avec le vin de son impudicité. Grands comme petits, riches et pauvres, libres et esclaves.

Sachez que pour Dieu, la pornographie est vin d'aigreur destiné à remplir d'ulcères tous ceux qui vont finir condamnés à cause d'elle.

Il n'est pas nécessaire d'être un membre de ces sectes sataniques pour tomber sous jugement de Dieu, mais simplement de vivre sans repentance loin de lui au travers du péché et de l'iniquité.

Donc, il est temps de se rapprocher de lui, car son jugement est à nos portes.

Pour finir avec le dossier noir de la secte satanique "Abrasax" cette enquête a permis d'éclairer des milieux discrets qui impliquent la belle société dont des têtes couronnées.

Et si notre média déterre cette enquête oubliée du plus grand nombre, nous le faisons en fonction du décès de la reine Elizabeth II, qui a vu tous les médias ainsi que la plupart des chefs d'état du monde lui rendent un vibrant hommage. Elle qui fit mourir des enfants et participa à des chasses cruelles et mortelles. Pis les citoyens anglais la vénère plus que le Christ lui-même, ce qui est un blasphème. Des quatre coins de la terre montent une clameur qui honore celle qui vivante honorait Satan.

Certes, elle a duper les hommes de son siècle, pas Dieu qui l'a jugé.

C'est ainsi que s'achève cet article en espérant qu'il vous permettra d'avancer dans la vérité.


Nahema-Nephtys (de son vrai nom Dominique Kindermans)

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