Alstom Gate, une course vers la tutelle américaine

Publié le 19 décembre 2022 à 21:51

Tandis que les Français sont pris au piège de la hausse des prix de l'énergie, il est important de revenir en arrière pour mettre en lumière le "pacte de corruption" dont Emmanuel Macron, ministre de l'économie de l'époque est à l'origine


En 2014, la branche énergie du groupe Alstom est rachetée par l'Américain Général Electric. Cinq ans plus tard, cette cession continue de faire couler beaucoup d'encre.

Le Parquet National Financier, s'est même saisi de l'affaire après qu'un député, LR Olivier Marleix, a émis des soupçons quant à un potentiel "pacte de corruption" impliquant l'actuel chef de l'état.

Cette transaction, de près de 13 milliards d'euros, est qualifiée de scandale d'état par les opposants aux président de la République, qui ont pointé du doigt, le fait de confier à une société étrangère de surcroît américaine, la maintenance des turbines de nos centrales nucléaires.

 

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Le premier prestataire d'Alstom dans ce dossier le cabinet d'avocats americano-britannique, Hogan Lovells touche 21 millions d'euros. Les banquiers suivent de près, puisque le deuxième bénéficiaire se nomme comme par hasard "Rothschild qui empoche au passage 12 millions d'euros, tandis que Bank of América en a obtenu 10. Le cabinet de droit des affaires Weil, Gotshal et Manges 9 millions et les consultants du Boston Consulting Group 5 millions complètant cette bande de rapace qui a dévoré avec l'aide d'Emmanuel Macron, la mort de notre fleuron industriel.

Ce lobbbyng savamment mis en place, est une opération financière scellant entre grandes sociétés étrangères un pacte de "corruption anti-France".

À noter, d'après certaines informations, cinq associés de chez Rothschild figurent parmi les donateurs d'En Marche parti présidentiel devenu récemment Renaissance.

Puisque lors de la dernière élection présidentielle, il n'y avait pas selon des gens sans discernement, d'autre candidat crédible que le fils spirituel de la banque Rothschild, les Français en toute connaissance de cause, ont préféré voter celui qui bout par bout, démembre la France en la vendant comme une vulgaire prostituée, aux États-Unis, à l'Union Européenne et à l'Allemagne.

À l'Aube de l'année 2023, alors que les Français sont en proie à l'insécurité, la délinquance, le chômage, l'inflation, la flambée des prix de l'énergie, la famine et la guerre, vont-ils encore aveuglément faire confiance à celui qui les sacrifient?

Soumission ou révolution sociale, le choix reste ouvert.

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