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Tandis que les Français sont pris au piège de la hausse des prix de l'énergie, il est important de revenir en arrière pour mettre en lumière le "pacte de corruption" dont Emmanuel Macron, ministre de l'économie de l'époque est à l'origine
En 2014, la branche énergie du groupe Alstom est rachetée par l'Américain Général Electric. Cinq ans plus tard, cette cession continue de faire couler beaucoup d'encre.
Le Parquet National Financier, s'est même saisi de l'affaire après qu'un député, LR Olivier Marleix, a émis des soupçons quant à un potentiel "pacte de corruption" impliquant l'actuel chef de l'état.
Cette transaction, de près de 13 milliards d'euros, est qualifiée de scandale d'état par les opposants aux président de la République, qui ont pointé du doigt, le fait de confier à une société étrangère de surcroît américaine, la maintenance des turbines de nos centrales nucléaires.
Affaire Alstom, retour sur un scandale d’État qui incarne le machiavélisme américain et l’impuissance française et celle d’Emmanuel Macron avec Frédéric Pierucci et Olivier Marleix Les ravages de l’idéologie woke ! avec Pierre Valentin
Le premier prestataire d'Alstom dans ce dossier le cabinet d'avocats americano-britannique, Hogan Lovells touche 21 millions d'euros. Les banquiers suivent de près, puisque le deuxième bénéficiaire se nomme comme par hasard "Rothschild qui empoche au passage 12 millions d'euros, tandis que Bank of América en a obtenu 10. Le cabinet de droit des affaires Weil, Gotshal et Manges 9 millions et les consultants du Boston Consulting Group 5 millions complètant cette bande de rapace qui a dévoré avec l'aide d'Emmanuel Macron, la mort de notre fleuron industriel.
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