Skulls and Bones ou, les couloirs secrets du pouvoir américain

Publié le 13 décembre 2022 à 13:17

Fondée en 1832, le club très fermé des skulls and Bones est une puissante organisation dont le recrutement s'effectue dans les couloirs secrets de l'université de Yale. Considéré outre-Atlantique comme l'une des plus prestigieuses sociétés secrètes des États-Unis, ses membres forment une élite sociale.

Remontons dans le temps, en 1830, un étudiant de l'université de Yale du nom de William H. Russel rencontre lors d'un séjour en Allemagne un membre d'une société secrète. Les groupuscules occultes sont alors en pleine expansion dans la société germanique. Il va s'inspirer des enseignements de l'organisation ésotériste allemande - dont l'emblème est une tête de mort - pour fonder à son retour aux États-Unis en 1832 la "Fraternité de la mort", très vite rebaptisée "l'Ordre des Skulls and Bones".

Major de sa promotion en 1833, Russel réunit autour de lui les étudiants de Yale promis aux plus brillantes carrières. La motivation de ces initiés de la première heure est d'entretenir dans le monde postuniversitaire des relations suivies avec les autres membres, dans le but de créer un puissant réseau d'influence.

Les patriarches une fois diplômés et lancés dans la vie active - pourront aider la confrérie à devenir de plus en plus puissante.

La société est placée sous le sceau du secret, qui je le rappelle était pour le président John F. Kennedy une répugnance et une anomalie pour la vie politique de la nation.

Le bâtiment historique du campus est le quartier général des adeptes qui initiés au mystère de l'Ordre, jurent de garder silence.

L'encre a beaucoup coulé sur le rituel des Skulls and Bones, dont les initiations et rituels se font à l'abri des regards. Alexandra Robbins, auteur de l'ouvrage Skulls and Bones: la vérité sur l'élite qui dirige les États-Unis, synthétise les rumeurs anciennes et contemporaines. "Pendant l'initiation, qui comporte une mise en condition psychologique ritualiste, les juniors se battent dans la boue et sont frappés physiquement, cette étape de la cérémonie représentant leur mort au monde. Puis ils se mettent nus dans un cercueil, se masturbent, et doivent révéler aux membres de la société leurs secrets sexuels les plus intimes. Après cette purification, les skullboniens donnent aux initiés une robe, symbole de leur nouvelle identité en tant qu'individus poursuivant des objectifs élevés (...) C'est durant l'initiation que les nouveaux adeptes découvrent le décors du "tombeau" enceinte profane constitué de divers objets et notemment d'emblèmes nazis ayant appartenu à Adolf Hitler - des douzaines de crânes et d'un assortiment d'objets décoratifs de cercueils, des squelettes et des entrailles". Très souvent lors des initiations, on y entendraient d'inquiétants hurlements.

À savoir que cette lignée secrète se perpétue de père en fils. Exemple la famille Bush: Prescott Bush, père de George H. Bush et grand-père de George W. Bush tous membres du même club.

Les Skulls and Bones ont donné aux États-Unis trois présidents, tous diplômés de l'université de Yale.

William Howard Taft: Chevalier Skulls and Bones en 1838 - Président de 1909 à 1913.

George H. Bush: Chevalier Skulls and Bones en 1948 - Président de 1989 à 1993.

George W. Bush: Chavalier Skulls and Bones en 1968 - Président de 2000 à 2008.

En recrutant chaque année quinze fils de grandes familles américaines, les Skulls and Bones ont assuré la pérennisation de leur Ordre. Puritains et conservateurs en apparence, ces gens servent les plans du diable, non ceux du Christ qu'ils font semblants d'adorer. Dans ces cercles, la coïncidence n'a pas sa place, car se sont bien des lignées riches et célèbres (Bush, Bundy, Phelps, Rockefeller) qui se croisent et travaillent ensemble à la mise en place du Nouvel Ordre Mondial.

Contrairement à d'autres Ordres issus de la franc-maçonnerie, la confrérie des Skulls and Bones n'ont pas de leaders ni de chefs charismatiques; les adeptes alternent à tour de rôle.

Autre fait avéré et déroutant pour le commun des mortels, le vol du crâne du chef indien Geronimo. Selon un informateur anonyme, le crâne du guerrier indien aurait été volé par les Skullsboniens en 1918, en pleine première guerre mondiale. En 2009, les descendants de Geronimo ont intenté une action en justice pour tenter de récupérer la dépouille de leur ancêtre. Ils détiendraient également le crâne de Pancho Villa et les reliques de Madame Pompadour, l'une des femmes les plus brillantes du XVIII ème siècle.

Le but des initiés de la société prendre le contrôle du monde politique, diplomatique, économique et médiatique, inutile de dire qu'ils ont tous été initiés par le Concil on Foreign Relations (CFR). On y retrouve les ponts des compagnies pétrolières, de l'industrie agro-alimentaire, de l'industrie médicale et pharmaceutique, du complexe militaro-industriel, les membres éminents de la CIA chargés de blanchir l'argent sale et de créer des coup d'état de par le monde pour déstabiliser certains pays, sans oublier tous les cartels bancaires privés façonnant la FED.

Toujours selon Alexandra Robbins, la CIA était remplie de diplômés de Yale - à tel point que les autres membres de l'Agence se sentaient souvent en position inconfortable et inférieure au milieu de ces "Yalies", comme ils les appelaient (...) Preuve que les Skullboniens n'ont rien à cacher au club.

En 2004, lors de l'élection présidentielle, deux anciens Skulls and Bones initiés respectivement en 1966 et 1968, se sont affrontés pour donner l'illusion de la démocratie, John Kerry le démocrate et George W. Bush le républicain.

Les Skullboniens sont donc des dangereux conspirationnistes qui non seulement ont fait volontairement échouer l'opération militaire de la baie des cochons pour renverser Fidèle Castro et décrédibiliser le président Kennedy, et en parallèle organiser l'assassinat du plus jeune et probablement le moins mauvais des présidents étasuniens. Ce sont encore eux, qui ont embourbé une génération de jeunes afroaméricains, des latino-américains et des pecnos de bleds perdus dans les rizières du Vietnam, véritables laboratoires d'essais d'armes de pointes et chimiques, où les enfants de riches n'allaient pas se faire tuer.

Cette dictature invisible, laisse supposer que l'établissement du Nouvel Ordre Mondial doit passer par l'hégémonie américaine organisant à ce jour, la déstabilisation du continent européen, au moyen de la guerre en Ukraine dont ils tirent toutes les ficelles.

Leur but suprême changer le monde tel que le décrit l'apôtre Jean dans le livre de l'Apocalypse. C'est donc les États-Unis qui vont inspirer la bête qui sort de la mer.


je vous laisse le plaisir de prendre connaissance de ces quelques photos ci-dessous concernant cette secte.


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