Inflation, salaires fossilisés, effondrement de l'euro et chute brutale des valeurs boursières

Publié le 4 octobre 2022 à 14:47

Le monde actuel est moralement, financièrement, économiquement en faillite. Les gens hypnotisés par ce système, boivent les mensonges que les médias leur servent à longueur de journée.

D'ores et déjà, nos élites maçonniques savent que l'Union européenne ne survivra pas à la crise économique qui est entrain progressivement de la désintégrer.

Car le problème avec l'inflation, n'est pas seulement lié à l'explosion des prix, mais aussi en parallèle avec la dépréciation de la monnaie papier, dite fiduciaire. Puisque la valeur de la monnaie papier est basée sur la confiance et notamment sur la solidité des états, je vous laisse envisager les causes profondes qui créent la perte de vitesse de l'euro.

Et tous les cycles inflationnistes que nous connaissons, n'ont qu'un objectif: faire balancer radicalement l'économie entre déflation et inflation.

Et à partir de ce yoyo, les prix peuvent autant baisser ou augmenter de façon inattendue. Les banques ne pouvant pour leurs affaires pas tolérer la déflation, organisent savamment l'inflation. Cela donne une surimpression de la monnaie papier sur les marchés financiers.

Les risques à long terme, la pression engendrée par la dépression va inciter toutes les banques centrales à imprimer plus de masse monétaire qu'il ne faut.

En réalité, la bulle financière est en dépression depuis la crise des subprimes en 2007, cumulée à celle de 2008, crise bancaire et monétaire qui a auguré par anticipation, la catastrophe d'aujourd'hui.

Dans une dépression, les débiteurs possesseurs de valeurs boursières pris à la gorge par la tourmente des dettes, vendent à perte leurs actifs pour tenter de récupérer quelque chose. La chute vertigineuse des prix des actifs crée à son tour des difficultés pour d'autres investisseurs, ce qui entraîne davantage de vente d'actifs. Généralement, c'est ainsi qu'une bulle spéculative explose et crée l'effondrement du système.

Puisque imprimer de la masse papier est considéré comme un acte inflationniste, l'argent servant à acheter des biens et des services aura tendance à augmenter les prix. Et si les banques centrales cessent de provoquer l'inflation, la déflation engloutira l'économie.

Le signe qui indique une impulsion déflationniste est le taux d'intérêt extrêmement bas consenti par les banquiers centraux.

Et le contrôle de l'humanité passe par le processus de l'argent facile. Puis à mesure que la masse papier augmente sur les marchés, ces stratèges ferment le piège et sont assurés d'avoir piégé un maximum de pigeons. Et quand la masse monétaire est limitée sur les marchés les prêts deviennent impossibles à contracter. Le résultat final est qu'un maximum d'emprunteurs ne seront pas en mesure de rembourser leurs prêts, pis encore, ils seront dans l'incapacité de contracter de nouveaux prêts pour tenter de se renflouer. Moralité, les banques récupéreront leurs biens et leurs actifs pour une bouchée de pain (exemple: la crise de 1929).

Dès lors les banques deviendront plus riches ainsi que les propriétaires fonciers et terriens les plus puissants de la création... (se referrer a mon article sur le 666).

Qui est derrière ce jeu dangereux?

Satan, le maître des horloges et de l'argent.

Et les gens ignorants de ces systèmes, ont permis par leur égoïsme de réintroduire l'esclavage dans le monde entier. En voulant tous devenir propriétaires de leur bien foncier, de nombreux citoyens se sont mis à part, ne suivant plus les grèves et les mobilisations Gilets Jaunes, pensant que ces mouvements étaient un obstacle au remboursement de leur bien.

Or, ce n'est pas en refusant de combattre ce système, que leur sécurité sera assurée. Pis encore, ce qui les rend esclaves c'est l'utopie des banques qui leur fait miroiter une vie de rêve. Plus grave, c'est au nom de leur bien qu'ils se verront dépouillé de tout.

De grâce, arrêtez d'être les marionnettes des banquiers et venez vous joindre aux résistants.

Avant qu'il ne soit trop tard, faites le bon choix.

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